Un nouveau partenaire vient de rentrer dans le consortium d'Occitanum

Le GIP «Transitions». En Occitanie, l’État, l’agence de l’eau Adour-Garonne et la Région Occitanie ont décidé de mettre en commun leurs moyens pour créer un groupement d’intérêt public, le GIP «Transitions », afin d’accélérer les processus de transition de l’agriculture.

Lors de l'assemblée générale qui s'est tenue, jeudi 8 décembre à Toulouse, le consortium a voté à l’unanimité l'entrée d'un nouveau partenaire; le Gip Transition, représenté par Bruno Lion.

Quels sont les rôles et mission du GIP « Transitions »?

En Occitanie, l’État, l’ agence de l’eau Adour-Garonne et la Région Occitanie ont décidé de mettre en commun leurs moyens pour créer un groupement d’intérêt public, le GIP «Transitions », afin d’accélérer les processus de transition de l’agriculture. Ce GIP rayonnera sur l’ensemble de la région et sera installé sur le Lycée agricole d’Auzeville.

Le GIP «Transitions» est conçu comme une structure agile, de petite taille (moins de 10 agents) qui s’inscrit dans une conception de l’action publique de proximité au service des usagers, plus particulièrement des exploitants agricoles, et des territoires. Il appuiera les acteurs de l’agriculture dans le déploiement de méthodes de travail fondées sur la co-expertise au service de grands enjeux pour nos territoires : durabilité de l’agriculture, gestion de l’eau, réduction d’usage des produits phytosanitaires, adaptation au changement climatique, préservation de la biodiversité…

Il a également pour objectif d’accélérer les différentes transitions agricoles en Occitanie en étant un catalyseur de projets.

Quelles seront ses contributions à OccitANum?

Le GIP transition pourra contribuer aux dynamiques des Open Lab et aux méthodes Living Lab en lien avec ses territoires et thématiques d’intervention. Par ailleurs, le GIP est intéressé à travailler sur les liens entre Occitanum et l’enseignement agricole.

Il pourra contribuer dans les projets des Open LAB, mais aussi dans les réflexions sur la démarche et son déploiement.

Bruno Lion, directeur du GIP Transition souhaite "pouvoir travailler avec les acteurs du numérique sur la contribution du numérique aux dynamiques de transition agroécologique, et notamment sur la question de l’usage de la donnée : "en quoi un meilleur partage des données permet de mieux comprendre et agir sur les enjeux de transition"

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